Maxime est Directeur Conseil chez Artefact, spécialisée dans la data. Artefact a connu une croissance fulgurante (1000 salariés en 2022 pour une société fondée en 2015). Maxime est aussi responsable de la “Tribe” People Management.
Qui êtes-vous ?
Maxime Le Gouvello: Bonjour, je m'appelle Maxime Le Gouvello. Je suis Directeur Conseil chez Artefact, une société de conseil en data.
Pourquoi avoir fait la WILL Academy ?
Maxime Le Gouvello: Deux constats de départ. Tout d'abord une population managériale très jeune, qui manque de vécu managérial et un cursus de formation sur la compétence de gestion de personnes qui est trop théorique.
Qu'avez-vous le plus apprécié dans la formation ?
Maxime Le Gouvello: Au moins trois choses. Tout d'abord, la formation dispensée par la WILL Academy est une formidable synthèse de beaucoup de méthodologies et de frameworks de People Management. Ensuite, les exercices qui sont dispensés sont à la fois très simples et concis dans leur énoncé et en même temps permettent d'arriver à un résultat hyper satisfaisant en un temps assez court. Enfin, le mode "Do It Yourself" : entre chaque session on est invité à mettre en pratique les exercices qu'on aura vus lors des sessions précédentes.
Que vous a apporté la WILL Academy dans votre activité ?
Maxime Le Gouvello: Très personnellement, j'ai toujours été versé vers la gestion des gens, le coaching, le management. En revanche, c'est quelques chose que j'ai toujours fait de manière assez intuitive, forcément en faisant des erreurs. Et ce que m'apporte la WILL Academy, c'est une manière de... À la fois conscientiser ce que je fais en terme de management, et en même temps de me permettre d'avoir des exercices pratiques pour faire avancer mes équipes.
Pourquoi recommanderiez-vous cette formation ?
Maxime Le Gouvello: D'abord, ça permet de faire en sorte que vos populations managériales n'avancent plus au hasard et à l'instinct, dans leur manière qu'ils vont avoir d'apprendre à manager des gens. Ensuite ça vous permet de créer, selon moi un socle de pratiques managériales communes, via tous ces exercices. Et du coup, un langage commun qui va plus loin que, par exemple, les chartes managériales classiques qu'on voit dans beaucoup d'entreprises, qui partent certes d'une bonne intention, mais qui pour moi restent encore trop théoriques.